Comme je l'ai écrit sur ce blog depuis un téléphone mobile d'occasion en clavier qwerty dont le navigateur
affiche des signets exotiques, le jour de Noël fut contrasté. Le matin, je suis allée à Notre-Dame
pour la messe grégorienne de 10h, et y suis restée pour la messe polyphonique de 11h30.
La messe grégorienne, célébrée en latin par Mgr Chauvet et animée par plus d'une vingtaine
de choristes mixtes des ensembles jeunes et adultes, était très conséquente avec dix interventions
chantées du choeur, dont de longues tropes, sous la direction de Sylvain Dieudonné.
Après la messe grégorienne, je suis allée voir la crèche, autour de laquelle se pressaient les visiteurs, à l'arrière
du choeur, de plus en plus provençale, avec ses moutons venus voir le petit enfant du fond de leur garrigue.
La messe polyphonique qui suivit, en français, fut célébrée par Mgr Aupetit, et chantée
par le même choeur, cette fois sous la direction de Henri Chalet. Le choeur reprit trois
extraits de la messe de minuit de Charpentier que j'avais entendue en concert la semaine
précédente (voir article ci-dessous), et un chant de Noël anglais. Un concert de musique
grégorienne et médiévale de Noël fut annoncé le 28 décembre. Nous avons terminé
collectivement la célébration sur "Les anges dans nos campagnes".
La cathédrale était très remplie, et nous sommes ressortis lentement, parmi le dispositif de surveillance sur le parvis.
Repartie peu avant 13h** de Saint-Michel (l'entrée du RER donnant sur le parvis était interdite d'accès, et l'accès par
lequel je suis passée laissait entrer librement d'où l'oblitération d'arrivée à Arcueil au lieu de celle du départ),
je fus de retour à Arcueil vers 13h15***, et la deuxième partie de la journée fut moins gratifiante que la matinée,
enchaînant les déboires et pertes: rétroviseur, ordinateur (tiens, cela rime), connexions... Comme vous pouvez le
constater, j'ai résolu le problème d'ordinateur, mais que d'énergie perdue à lutter contre... contre quoi, au fait?
Sylvie, blogmestre