Lors des week-ends précédents pendant les vacances, j'ai respiré bien involontairement des émanations provenant de l'appartement d'à-côté, de bois brûlé (poële non-raccordé correctement), de cigarette eteinte, et d'autre chose de puant, peut-être du crack. Après 3 jours de ce traitement, le soir bien sûr, je ne tenais plus debout tellement j'étais sonnée par la douleur (un premier pervers ayant creusé le mur mitoyen pour m'envoyer des punaises asiatiques, d'autres se sont servi de l'orifice dans le mur, que je ne peux pas atteindre, pour m'envoyer du coronavirus, et d'autres insectes que les punaises).
Mon état de santé s'est donc beaucoup dégradé. J'ai poussé un soupir de soulagement quand les anciens locataires sont partis, hélas, les nouveaux se sont fait coloniser par quelques individus qui utilisent leur appartement pour me maltraiter. Donc pendant les vacances, on me gaze à ceci ou à cela pour m'empêcher de sortir de chez moi, et m'abîmer un peu, ou beaucoup, plus.
Hier j'ai passé un scanner des poumons, qui montre une anomalie, probablement une infection, dans le cas le plus optimiste. Et ce soir, que se passe-t'il? Un énergumène fumeur est là à fumer dans le salon de l'appartement d'à-côté, qui compte 4 pièces... donc 3 autres qui ne jouxtent pas mon logement. Je les soupçonne de souffler délibérément la fumée dans mon logement via le trou dans le mur.
Je suis obligée d'écrire ce texte avec un masque, la fenêtre et le volet ouverts... en février. Vous croyez que ça lui fait quelque chose? Non, il s'en fout, comme ils se sont tous foutu de ce que la persécution que je subis depuis des années pouvait provoquer chez moi en termes de santé. Ces gens sont des anomalies du genre humain, dépourvus d'empathie, prêts à blesser quelqu'un sans complexe, du moment que ça ne se voit pas, et qu'on ignore qui en est l'auteur.
Sylvie, blogmestre
(B. et S. je sais que vous êtes fumeurs tous les deux)
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