Belle journée ensoleilllée que ce 9 octobre 2016. Un peu traître par ses fluctuations de température...
Comme en témoignent ci-dessus les marroniers de la place Jean-Paul II et malgré un soleil estival en milieu de journée,
nous sommes bien en automne! Arrivée sur le parvis de Notre-Dame à 10h*, j'entrai dans la cathédrale pendant l'introït
de la messe grégorienne. La Maîtrise était masculine, composée de neuf messieurs, sous la direction
de Sylvain Dieudonné. La messe grégorienne fut dite entièrement en latin, il y eut un moment de flottement dans
l'assemblée au moment du passage de la paix (entendre le latin est une chose, l'appliquer activement en est une autre!)
J'assistai aux deux messes consécutives, grégorienne de 10h et internationale de 11h30.
Saint-Denis, qui fut le premier évêque de Lutèce au IIIè siècle, martyr, était le saint du jour.
La messe internationale de 11h30 fut animée par une douzaine de jeunes femmes, dirigées par
Henri Chalet, dans une messe de G. Ropartz, et un chant à la Vierge du soir de Yves Castagnet.
Les écritures évoquaient la lèpre, qui est une mycobactériose, et symbolise le péché. Ce que l'on ignorait à
l'époque des écritures, c'est que l'on peut être dépourvu de naissance d'immunité contre une mycobactériose, peut-on aussi
être dépourvu d'immunité contre le péché? La question mérite d'être méditée.A la fin de chacune des célébrations,
on nous a rappelé le denier du culte d'octobre, le concert du mardi à venir, et la possibilité de parler à un prêtre.
Nous sommes ressortis de la seconde célébration à 12h40 environ, j'ai repris le RER à 12h50**
Sylvie, blogmestre
PS: excusez-moi d'être un peu brêve, il y a un autre article qui suit celui-ci et j'ai
un temps limité pour rédiger les deux ce matin