Hier, à 9h37* en gare d'Arcueil, je ratai de jpeu l'express pour Paris, qui s'y était présenté à 9h36. Il y eut ensuite une
longue attente, et le train nommé "Epée 13" passa en trombe devant le quai. A 9h49, un autre train nous embarqua, et
j'arrivai à Saint-Michel Notre Dame à 10h06**, et dans la cathédrale pendant le Kyrie de la messe grégorienne de 10h.
J'ai participé aux deux messes, de 10h et de 11h30.
La messe grégorienne était animée par une dizaine de jeunes filles et jeunes femmes de la Maîtrise,
sous la direction de Sylvain Dieudonné. Elle fut dite entièrement en latin, à l'exception des lectures
et des annonces. Un missel latin-français sera le bienvenu, quoique la compréhension ne me soit pas
trop malaisée, à force de chanter des messes illustres en latin depuis des années...
La Maîtrise gagna une vingtaine de jeunes participants pour la messe internationale de 11h30, et chanta
le Kyrie, le Sanctus et l'Agnus Dei de la messe en la de Josef Rheinberger, sous la direction de Henri Chalet,
ainsi que le Laudate pueri des Vêpres d'un confesseur de Mozart (que nous avons chantées en concert en 2010).
Les deux messes étaient très belles avec toutes ces jeunes voix. La maquette de la feuille liturgique avait été
refaite et simplifiée. On nous rappela aux annonces les conférences du Jubilé, en octobre, et les
démarches jubilaires, ainsi que les concerts d'orgue du 27 septembre, et de musiques anglaises
du 4 octobre, et les auditions d'orgue du samedi soir. Une cathédrale très vivante!
La messe internationale de 11h30, qui fut dite en français, à l'exception des chants liturgiques,
et en anglais pour l'une des lectures, se termina vers 12h35. Une averse avait secoué
les marronniers entourant le parvis, qui s'étaient déplumés de leurs feuilles sous les gouttes,
et des coques de marrons jonchaient le sol. J'ai repris le RER à 12h40***
Sylvie, blogmestre